« Le lion » de Roald Dahl
Le lion, on le sait, de viande est friand.
Rien n’est pour lui plus alléchant.
Demandez donc au roi des animaux,
Quel est pour lui le plus tendre morceau.
Ce n’est pas le gigot d’agneau,
La bavette, le boeuf marengo.
Le lion, on le sait, de viande est friand.
Rien n’est pour lui plus alléchant.
Demandez donc au roi des animaux,
Quel est pour lui le plus tendre morceau.
Ce n’est pas le gigot d’agneau,
La bavette, le boeuf marengo.
Ah ! Si le clown était venu ! Il aurait bien ri, mardi soir : Un magicien en cape noire A tiré d’un petit mouchoir Un lapin, puis une tortue Et, après, un joli...
J’ai dans mon cartable
(C’est épouvantable !)
Un alligator
Qui s’appelle Hector.
Va-t’en tu m’embêtes
Dit le liseron
Au papillon perché sur la clochette
Le soleil
Avait quitté l’été tout rouge de colère.
Le soleil avait boudé l’hiver
Et ne revint pas au printemps.
Pour jouer à chat percé
Il suffit d’attraper
Un chat angora
Qui n’a jamais vu un rat
Ou un vieux matou
Revenu de tout
Les sanglots longs
Des violons
De l’automne
Blessent mon coeur
D’une langueur
Monotone.
Si toutes les filles du monde voulaient s’donner la main,
Tout autour de la mer elles pourraient faire une ronde.
Il y a des façons de dire
qui font sourire
Il y a des façons de rire
qui font plaisir